Jeudi 12 juin 2008 à 20:43

-Il  n'y a jamais plus grand ennemi que soi-même.
C'est ce qu'on dit au judo, tout ce qui nous servent d'adversaires sont en fait des partenaires puisque si c'était des adversaires, ils courraient (et moi aussi par la même occaz')  à une chose aussi détestable qu'elle procure de dégoût à chacun envers les autres: la haine. Produire cette haine est contraire à l'humanité.
-Le moi serait donc haïssable, oui, il l'est, mais tout autant qu'il est aimable. On ne peut vivre sans, sinon, nous ne serions pas ce que nous sommes, mais nous devons nous apprendre à nous méfier car le moi primaire est brutale, dénué de tout sentiment positif. Il est naturel, il vise à sa conservation et à sa satisfaction. Nous sommes ennemie de nous-même puisque nous avons développé l'humanité, et l'humanité va à l'encontre de toute violence envers les autres. Nous sommes donc sans le vouloir ennemie de tous, sans qu'ils le soient.
-Ennemie de tous si on laisse faire notre nature première. Si on le maîtrise, on arrive à une seconde nature, passage entre les deux, où nous ne sommes pas parfait, mais proche de nous-même.
-Le tout est de rester dans cette seconde nature, car après nous attends la pire des natures: superficiel. Cette seconde nature n'a pas pour vocation d'être la meilleure, mais d'être celle dont l'humanité sera la meilleure, la plus prononcée, et adorée. [Personnellement, j'ai jamais aimé les personnes superficielles.]
-A ce moment-là, le moi peut devenir aimable, puisqu'il n'est plus là pour faire du mal, mais pour aimer. Mais, il peut commettre des erreurs, et la nature première peut interférer pour le perturber. Et ainsi, on peut être sous l'emprise de la nature première. Et tromper, détruire son monde, pour se satisfaire.
-Dans un sens, l'auto-destruction de notre propre corps n'est plus dû à un instinct, mais à un rejet du deuxième moi, issu de la deuxième nature, qui nous plaît pas. On ne ressemble pas à ce que l'on veut, on ne fait pas ce que l'on veut, cette nature première reprend le dessus.





Lundi 2 juin 2008 à 22:10

Une jeune fille. Brune, cheveux mi-longs, à peu près 1m68 sûrement. Présence qui dégage quelque chose que j'ignore mais que je ne peux ignorer...

C'est tout ce que je sais sur la mystérieuse jeune fille que je croise dans les couloirs de mon lycée Monet.
Ah, aussi son prénom, mais pour l'instant, disons que ça m'est pas d'une utilité flagrante: juger par vous-même, qu'aurai-je à lui dire si je l'interpelle dans un couloir de Monet, à part « t'es vraiment magnifique, ton regard m'a hypnotisé, tu es mon nouveau monde, ma nouvelle religion? ». Et comment oserai-je lui sortir ça, d'un coup, comme un escrimeur magnant son sabre pour aller toucher son adversaire? Ou pourquoi pas, tant qu'on y est, faire un poème avec son prénom, qui au passage est très jolie?

L'amour c'est un combat, où l'adversaire c'est nous même. Sauf que c'est un sacré adversaire!

Et cette jolie brune, qu'est-ce qu'elle pense des bruns très foncés (voir noir), yeux noisettes, petit, concentré, judoka surprise, mathematicus philosophicus anglicus historicus poeticus, Cube-X...Enfin bref, moi quoi!

Parce que c'est ça le pire, c'est que tu sais pas ce qu'on pense de toi. En temps normal, c'est déjà une source de stress intense, mais alors là! C'est pire qu'une partie de bataille navale quoi, tu peux pas lui dire « H5 , t'aurais touché en plein coeur? ».

Enfin peut-être est-ce de ces lèvres d'où je recevrai, si cet amour s'avérait être réciproque (faut déjà que p(A) sachant B se face, B étant lui parler! [bon c'est de la proba en fait xd]), le doux baiser qui me libérera peut-être de ce monde étrange dans lequel je m'enferme, à idéaliser l'amour sans pour autant le concrétiser! C'est étrange vous savez, c'est très dur à décrire, et si simple à exprimer...

Enfin bref, souhaitez moi bonne chance, la fin des cours approche! Et avec elle, cette belle demoiselle...


[en bas, moi en plein kata, c'est pas le même genre de combat par contre...]


Mercredi 21 mai 2008 à 20:33

Quelques citations en vrac, du grand n'importe quoi!

Alors c'est deux talus qui se rencontrent:
"Talus".

"Je comprend pas pourquoi tu prends de la compote alors qu'il y a des tartes!"
"Tu peux pas compote."

C'est la fonction exponentielle, et la fonction logarithme qui vont au resto, qui paie la note?
L'exponentielle, parce que la logarithme népérien...

(pas trop inspiré ce soir, fera mieux la prochaine fois!)


Dimanche 20 avril 2008 à 22:13

Le futur est quelque chose qui fait peur à l'homme. C'est là que se trouve sa mort. C'est là que se trouve aussi sa vie jusqu'à sa dernière seconde...

L'idée même de l'amour peut rendre fous certains hommes qui en tombent amoureux en croyant tomber amoureux d'une femme.

L'amour n'écorche pas. L'amour ne blesse pas. C'est là toute sa finesse puisque c'est lorsqu'il n'est plus là qu'on croît qu'il blesse. Seulement, il en fait qu'à sa tête...

Une vie ne dure pas. La vie est éternelle...

On se fout toujours de la tête des précurseurs. Jusqu'à ce qu'on comprenne qu'ils ont raison...Suis-je un précurseur?



Dimanche 16 mars 2008 à 10:55

Il y a dans toute vie au moins une légende, un souvenir qui pourrait nous faire parler, comme si il méritait de sortir en livre.

J'dois avouer que j'en ai plusieurs, mais un de cela est particulier. C'est un jeu vidéo, Final Fantasy 7. En tant que joueur, vous devez sûrement connaître la série des Final Fantasy...Mais pourquoi le 7 au juste?

Parce que!
Pour ma part, c'est l'un des plus beaux jeux auxquelles il m'ait été donné de jouer, les environnements sont variés et enchanteurs. C'est peut-être simple dit comme ça, mais ça a une très grande importance dans un jeu qui propose une aventure hors-norme.
Il y a aussi les personnages, très attachants et très travaillés, aucun des personnes principaux et secondaires ne sont laissés de côté, et on en connaitrait presque chaque facette, mention spécial à Clad, qui est, à mon goût, l'un des héros les plus travaillés du JV (avec Cecil de FF4, Bibi de FF9...).: tourmenté, presque dépressif, et pourtant combattant, son âme est mystérieuse au début, même pour nous qui le contrôlons, mais on finit par découvrir un passé sombre...
L'histoire aussi est très passionnante, même si, vu de l'extérieur, certaines parties du scénario peuvent paraître capillotracter. Quand on est vraiment dans l'histoire, on ne la lâche plus, elle sait être à la fois pleins d'optimisme, d'une certaine spiritualité, mais aussi triste (c'est à mon souvenir, la seule fois que j'ai pleuré devant un JV), une histoire très complète.

L'histoire (en gros):
La Shinra est une société qui fait prospérer le monde humain grâce à l'énergie qu'elle offre. Elle est installé dans une ville du nom de Midgar, ville cyber-punk. Elle peut paraître riche d'un certains points de vue, mais les taudis s'y accumulent. De plus, la Shinra, dans sa folie pour l'argent est en train de détruire la planète en absorbant le mako, énergie mystique  qu'elle transforme en  énergie pour la consommation. Un groupe du nom d'Avalanche veut mettre fin à cette destruction en détruisant les réacteurs de la Shinra...Parmi eux, Cloud, ex-soldat, l'unité d'élite de la protection de la Shinra, et Barret, vont s'occuper d'un des réacteurs de Midgar, sans savoir que cela allait être le point de départ d'une aventure aux proportions qu'ils n'auraient jamais pu imaginer...Accompagné de Barret, un homme massif ayant perdu une de ses mains lors d'un accident, d'Aérith, jeune fille qui se dit dernière descendante d'un ancien peuple du nom de Centra, de Tifa, amie d'enfance de Cloud, de Rouge XIII (ou Nanaki), guerrier-loup qui veut sauver son village, de Caith Sit, chat monté sur une marionnette qui réserve bien des surprises, de Youffie, voleuse et ninja experte, de Cid, rêvant du ciel, et de Vincent, vampire au passé plus que sombre ayant un lien indirect avec notre héros, Cloud va devoir affronter ses vieux démons pour sauver le monde...Surtout un certain Sephiroth...(en image ci-dessous, version Advent Children)


Ce que je vous présente ici n'est que la base d'un scénario rempli de rebondissements, et merveilleux.
Ce jeu a d'ailleurs donné suite à un film, FF VII Advent Children!

Mais au delà de tout ça, FF, c'est une institution du jeu vidéo, et le VII est l'un de ses plus dignes représentants, mais au lieu de parler, allez y jouer!


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